Visite.
Dans le château du devin qui se lève
Voir pourquoi ces sons et ces infamies
Ces phénomènes touchent le centre du cercle
Tu gravites autour comme une mouche
Une colombe lesbienne qui bouge sa tête
Dans une si grande maison, où tout s’écoute
Les portes sont murées et d’autres fois
Des rayons si puissants touchent le fond d’une salle
Où l’on sait qu’il est d’autres régions encore
Qui pointent dans les mains qui s’évadent
J’étais sûr de voir et j’étais parmi le cercle
Dans les positions qui se succèdent
Ne jamais bouger dans l’infamie
Mais offrir son corps aux grandes avenues
Aux crécelles de béton et n’être
Que dans cette obscurité
Passage.
Les choses ont voyagé en moi
Je suis le vieil homme et le jeune éphèbe
Je suis la mare et le presbytère
Les arbres des forêts qui rigolent de mystères
Et les chutes qui touchent au point miraculeux
Dans un délire qui s’est avéré
Reconstituer un monde avec le seul diamètre
Et l’épaisseur de conifères
La densité et la raison première
Qui touchèrent les premiers peuples
Je suis sûrement encore
Dans l’arrière-pays et l’oraison