Oh la liqueur de la soliloquie

(à mon amour Mia M.)

Quand tu parles dans le cercle d’arbres
Il y a des colibris, des lézards et des queues de rats
Quelque part autour et des frondaisons dans les arbres
Qui mangent le vent et la ciguë du feuillage
Tremble dans le temps ainsi que des altérations psychiques
Tandis que tu fusionnes avec le seul sujet
Les seules ruines qui lézardent et les nuits recommencées
Mais avant ce ne sont que des pierres taguées et des fatras
De seules vies qui se disent en s’exclamant à des amis
A des blagues autocentrées et des propos
Des attentions également autocentrées
Mais dévouée la parole s’engage et dans le fossé
Et la bulle les résistances s’éloignent
Dans une grande unité nue.

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