Nuit au parc
Le parc est fait de branches qui se détachent
On y voit l’œuvre de Van Gogh
On voit se déstabiliser les structures
Et même mentales se mentent dans la connivence
Du grand et suprême décadrement
Je me décadre comme on fusionne des forêts pubiennes
Je me surcadre dans les alvéoles humaines
Je ne suis rien qu’un chemin qui me nargue
D’être un train et un néon du soir
Dans la gueule, dans la belle bouche et les yeux doux
De la femme et dans les lèvres du loup
Et le chien qui passe et lèche les bouches
Les nuits sont des vents de septembre au genou