S.
Sarah belle enfant de cet enfer
Qui de toi au laos ou au cambogde
Quand tu pars et que rien ne sait
D’où te vient cette partance si lointaine
Et cette jeunesse dans le cœur
Sarah quand tu pars et que rien ne résiste
Au cerveau malléable et aux conifères
Quand tout n’est qu’abois
Toi tu tiens la poutre et le crin de la vie
Avec tes simples doigts
Quand tout est cette aigreur et cette violence
Tu es ce monde qui ne résiste pas
Mais où les possibles s’engouffrent dans les terres
Malléables de ton corps qui souffre les autres
Sarah la seule qui soit, Sarah comme d’autres
Filles de cet enfer et paradis si proches
Ses maisons de cœur et pays lointains
Sarah l’offrande est la plus belle des choses
Tu offres le cœur aux esprits affriolants
Et te jette dans les torrents de bonheurs
Sarah offre tes sens à la nature qui aime
Tes mains et tes saveurs diluviennes
Sarah offre à la nuit le sang qui perle