quelque part ailleurs

Je n’ai pas inscrit au premier jour
La longue plainte de cette si
Ténue plaine ; je me suis vautré
Dans le seul règne du chien
Ici on aboie et le sable traverse
Dans le vent ce qui est menaçant
Les canines du chien comme les gueules
Des bois pourris

Les dents de la statue qui s’épanouit
Et se recueille sur la route affaiblie
Où pourtant la force des conducteurs
Jamais ne se dissipe
Car ils roulent et je fuis
Dans le cœur de la route
Et dans l’oxygène qui pullule
Sur l’essaim du bord des routes

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