Capture

Là elle est sure qu’elle puisse tenir dans les mains qui m’ont prise
Lorsque j’étais si bien logée dans la plante grasse
Et si profondément sis à la place
Qu’il n’y avait plus de souffle
Et que les organes me portaient dans la danse du sang
Et du tain liquide des sources
Des croutes terrestres ocres et sylvestres
Où les plantes meurent et dodelinent

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*