Le balcon.

Je touche l’impossible de nos spasmes
Sur le balcon ta chevelure est cette mesure
D’ont l’accord universel tremble
Dans une entité qui se jette aux ornières
Aux décompositions de l’instant
La ville se dénude et la pierre
Touche les veinules de nos corps
Il y a une chose qui brule

Un dessin à venir se profile dans nos veines
Le dessein de t’obtenir est une couche
De suie ou de sang dans l’atmosphère
Les cheminées brulent et le ciel est une extase
Dans les tempes de l’été aphasique

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