L’iris fondamental

J’obtiens parfois le grain
Le train dans la cornée du terrain
Et dans l’angle de la pièce
Je pars déjà où viennent
Les rêves m’atteindre différemment
Tes yeux sont du minéral vivant
Et de la douce ambroisie
Tes yeux sont la tempe et la faille
Où je meurs aussi

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