TEMPLE

La grande orée, il m’arrive
D’être à ce point éloigné qu’un millésime
Entre dans les veines et le petit sang
Colle souvent aux traverses et la marge
Des jambes en marche se délite
Dans le visage des marées

Je ne dis pas ce qui tient en déclin
La plus fine ramure et l’aile aux abois
De la marche et du mouvement
Des terres et des liens qui gravissent
Le temple et sa manière plastique
D’exténuer à tout va

Le sentiment sensible

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