A toi, alors

Tu as toujours jalousé que je ne t’aime pas
Et je fleuris les vrais parterres
Tu me cherches partout, et je suis tout
Excuse-moi de ne pas t’aimer
Mais qui aime
Que sont ce sable et cette lisière
Dans les grandes étendues
Toujours je me vois
Et te vois étendue
Mais observe seulement l’étendue
Et les femmes et bien plus
Que l’amour

Je suis l’universel singulier
Je suis la flamme et la clameur
Et ne me positionne qu’en rêve
Que partout tu cherches

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