Rim tu veux que je mange la merde que chie
Le trou du cul de tes veines
Dans l’orgasme fécal qui trompe
Et la trompette inconnue où pompe
Ta subtile merde qui me touche les ongles
Fleuris de l’anus de ta mère que je sens fleurir
Dans la tombe de mes ongles ?

Est-ce que tu pourrais évincer le ciel
Par le furoncle de l’amour qui se penche
Sur l’ombre de ton cul

Quand je vois les mains que tu sculptes
Toutes les fois que le corps noué des falaises
Est un nœud de chattes siamoises
Toisé de silence comme la brise est une salive de glace
Murée dans de ternes aboiements que scandent
Des viscosités qui descendent des rochers où niche
Le grand vautour de l’amour au corps de rayon froid
De traines sur le velours et l’air et la conscience
Des rayons qui sont lèvres de mimines infractions
Des interdits qu’on soulève avec la poix des sécrétions

Dans le corps de la baleine dansent les archers du sperme

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