Louise

Ton optimisme subversif et jamais l’ailleurs
Je me charge pour toi de cet ailleurs
Il n’est pas suffisamment actif pour toi
Il n’existe pas, seulement dans la présence
De tes veines et ton sang qui circulent dans le lacis
Dans la glace et le feu de ce présent
Tu refuses l’ailleurs, qui se déplace si peu ou jamais
Mais seulement ton optimisme d’être certaine
Des liqueurs et choses établies, même viciées

Dans la tourbe de tes caractères ta tête est si forte
Et les seuls domaines encore à l’abandon
Atteignent le possible mouvement de tes membres
Ton crâne et ses cheveux courts touchent aux villes
Et aux lumières aplanies du progrès

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