La grande néante

J’aimerais dire cet empêchement
Solitude qui puise dans les plus sapés
Des fondements qui naissent ensemble dans les tempes
Et dans le brouillon d’un malaise éternel
Il ne saurait franchir de barrières ou de butoirs
Dans cette vie dont les images et la douceur
Figent dans la carapace de l’animal
Les dangers d’une singulière maternité
Malgré l’aide des voix et des présences
Le bruit des cours et des mouvances
L’hypothétique champ de givre

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