G.
Fille des mers, vénus Géraldine
Toute superficialité te touche
Ainsi qu’un ballon dans les airs
Se frictionne avec le seul ozone
Tu n’es pas tant tu es légère
Seul poids qui contusionne
Le désir avec l’éclair
Seul tronc délavé
Des cauchemars qui prennent vie
Dans l’allée sombre des cyprès
Mon seul désir dans cette après-vie
Mon seul calice dans ce monde d’ennui
Ma raison, qui me console de prairies
Où seul vent joue avec cette peau sans faille
Seul écrin aromantique
Seul éclair sans drame
Mort de l’âme rejouant mes souffrances
Dans le grand calme des lames
Et des odorantes mouvances
Fin des sens qui écartèlent
Le peu de vacances premières