D
Il est solaire et l’or
Le brave ainsi que l’on a disséqué
Les montagnes où j’habitais
Le démon passe ses longues mains
Où logent les animaux et les bêtes
Quand il se tord il est d’une telle juvénilité
Mon dieu qu’il est beau d’avoir deux sangs
Celui des ténèbres et l’aurore plus lointaine
Que les fonds des volcans