LES BERGES DE L’INDE
Pour toujours, l’éternité
Le corps cannabique, roulements
A un endroit il y a ce palais et cette berge
Ailleurs d’autres encore attendent
Que l’eau reste en suspens
Mais le relief est sans cesse plus gras
La grande entrave n’est rien
Et dissout les canevas
Prêts à se rendre dans le trépas
Dans la longévité de soi
Il y a la croute dorée des rêves
Sans cesse à leurs côtés
Sans cesse prennent les eaux marbrées
Les contrées diluviennes