Le désarroi, qu’ausculte adèle
Dans les doucereux phénomènes
Je le vois comme la grande venue des eaux
Qui s’étalent sur les mémoires,
Et les couteaux des diverses marres
Les océans qu’on abrège
Dans le temps déliquescent
Des nombreuses bières
Dans la célébrité amère
Des verres et des cinglantes lumières
Dans la trombe de l’espace
Dans la cognée d’asphalte
Dans la misère humaine
Subsistent les ornières
Les magies concrètes
Les vases qui se déprennent
De la violence des sages
Et de la folie qui vit
Dans l’apparence des jours