SEPARATION
Je me choque à ce réel dur, granit vague, l’iode marin seul m’apaise, le clapotis, histoires de falaises et d’oiseaux, une origine transparente.
Un présent plastique souffre un brin, bile de la mer, amertume de l’azur lui apportent ce goût d’inachevé.
L’oiseau géant seul dépasse le mythe, l’oiseau purement enfantin brûle le lieu, les cavernes fraîchies lui bâtissent un nid d’éternité.