PERIPLE
je possède une chose enfouie
je me bats parfois contre une perdition
qui circule à côté et moi suis au coeur
d’un trouble dont le mal connecte
ses antennes à des choses échues
il précipite parfois, des tombées et des chutes
mais dans la coulée de granit
je suis d’autres blocs si souvent
qui sont le sable de la vie
ailleurs où il se disperse
comme les mauvais esprits s’en vont
les douces algues et les verres
teignent dans leurs corps
le sens de l’ailleurs