tu
par claire le 26 août, 2019
tu n’a pas de bord
ni celui de l’eau, du large fleuve
si avancé le crépuscule gris
ni la falaise en surplomb
– où marche Invisible/Indivisible.
ni le cri du bébé gabian
assoiffé errant sous les fenêtres
le cri de la mère gabian qui plane et cherche.
tu peut être partout.
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