Le sang de juillet
elle me répète : les chairs roses qui s’intercalent
dans les brides qui saillent

je la saisis car elle me répète
je rechigne à n’être qu’elle car elle est trop
foisonnante
et m’enfouit dans une effusion
sanguine et solaire

des intuitions battent
dans des fibres et des nerfs
des esprits dans des coquilles
la mesure qui passe
comme le train et la réputation
du sifflement de son sein

unique rose du dénouement.

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