en bas gît celui qui ne veut rien dire de l’été
et se mange les côtes d’être doré au soleil
déconfiture de l’instant quand se mouchent
des silences dans une tête hautaine
rien ne se laisse vivre qu’un amas
des déchets de sirène dans un mât
la jambe est froissée comme un cloître
l’instant mélancolique est comme du plâtre