PETIT JOUR
 

Les émotions sont de dangereuses armes
Qui sèment leur barillet dans les rues et les salles
Impropres comme des boulevards
Avant que les travailleurs nettoient
Avec leurs lances les ivresses encore précoces

Mais la musique tient encore
Dans le ventre des métropoles
Dans les pales les ventouses et les armes
Semant leur corps aux dames

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