vous êtes la fleur de ma vie comme l’on succombe
aux orties mensongères et au vase
d’une profonde divinité
votre esprit saillant comme un masque
dans les transpirations fortes de l’océan
et pourtant si recluses dans ce sang et ce visage presque
désertique

rousse comme une guêpe et belle
comme des guêtres salubres aux pieds des étalons
transpiration encore
que ce sel et cette façon d’être sèche
tout en œuvrant à concentrer
l’humeur dans des pièces altières.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*