LA FIN DU SONGE
Le leurre de la fin du songe
et je crois m’être encore trempé dans un pied de table
dans la falsification de l’instant
je suis dévoué à la vis qui m’accable
et cela prend comme des cimaises
ou des fournaises d’été
le leurre inexplicable des succédanées
dans la bouche sereine et dans l’abois
des ruptures et des abandons
des buis ardents et des contrefaçons
où encore bougeaient quand on marchait
quelques mouvements supposés