Par la sueur de tes bras
Equivalente à un nuage rouge
Dont le sang va s’émouvoir et se répandre
Par gros paquets sur la ville
Par des transes de liquide épais
Les gens vont se lamenter
Les porches ensevelis par ton sang
Et les êtres figureront comme des troncs
Mais le sang suprême, le tien
Va envahir, obscurcir le monde
Le dénaturer et le confondre
Avec son rouge carmin