Voies ferrées

Une juste perception est constamment double, plein et vide, cessation et imprégnation. Je perçois ce chemin de fer, cette vitesse mais aussi le ralenti, l’effacement. Je perçois l’alignement fugace, défilant, mais aussi les racines.

Je pense et ne pense pas, un va-et-vient d’informations qui s’accommodent aux branches visibles d’hiver, au feuillage d’été. Rien ne lâche prise et tout s’oublie.

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