J’aimerais qu’en ces longues palmeraies
Le silence se fasse, et l’émotion conquiert
La paisibilité des espaces
Anéantis ou oubliés
Dans une nouvelle mesure
Dissimulée dans le brun ferrugineux de l’acier
Et dans la tempérance du temps
Les palmes ainsi que les oliveraies
Soupirent comme des anathèmes
Les mémoires dans l’espace
Sont l’instant où tu demeures
Transparente dans le jour
Et vêtue d’une juste mesure
Oublieuse et raisonnable

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*