WELTENDE
Des beautés virginales s’insinuent
Comme serpents arrachés aux arbres
Le mal citadin persiste
Et les beautés nues se coiffent
D’une étrange vêture
Les hommes coassent comme des strangulés
Et la ville les engloutit
Parmi les décombres les serpents vêtus
S’insinuent comme des colombes