Pansaers

 

Tu respires, dans le coin
Où les lettres d’un surréaliste fou
Se sont attachées à la grande ventouse de l’âme
Ont laissé filer une impensable énigme
De négativités construites
En guise de félicité
Par sa parole tourmentée
Les édifices boulonnés se dévissent
Sucés par une langue fébrile
Crachés à la vessie du monde
Pour qu’une essence nouvelle
S’émancipe des mains mises

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