(suite)

 

je fus follement heureux
j’entendais des fleurs bruire
des plantes aussi, des feuilles et surtout
il y avait tant de veines dans ce ciel
tant d’acrobaties, de veilles brisées
qu’il m’était impossible de pénétrer
l’exacte vérité de ce supplice

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*