Douée d’hébétude
Jamais de vulgarité si ce n’est
Ce bonheur plein qui t’enlaidit
Ces affres d’affection qui ternissent ton visage
Et le mien par le plaisir qui pourtant
Est un affect
Une mélancolie, une tristesse que tu es la seule
A avoir passées au mortier
Faisant de la fragilité du ciment
De la peine le barbelé du bonheur
Comment expliquer que ta douceur native
Ait pu cimenter l’attirance, chaque petit flocon
En une vaste étendue de béton.

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