YEUX
Que veux-tu
Tes yeux sont fondus à une fournaise
Comme à un écran de portable
Tes yeux obsédés par une punaise
S’incrustent dans le silence
Comme un chat griffe l’espace
Tes yeux enrayés par un tonnerre
S’ajustent à des affiches publicitaires
Mais le vague tout le temps
L’immonde refrain de cette vague dérisoire
Confond les panneaux aux algèbres
Les publicités au néant