Nous pensons pour ne plus penser un jour : nous établissons les lois du silence à venir, pour que le monde ferme sa gueule. Il faut briser les racines, rompre les troncs. Tout ce qui passe par la matière grise, toutes les connexions doivent amener à une sensation, une seule.
Nous devrions cesser d’ordonner pour que flambe le neuf. Retourner aux origines lassantes, leur avenir qui les dépasse, briser les chaînes causales et grimper sur l’âne qui nous mènera au sommet.