Des moutons paissent dans le coeur de Florian
Il est l’atome du monde vers où tout converge
Il n’y a rien au-dessus de lui, comme je l’ai déjà dit

Il est ce que l’homme voudrait être, la pureté première
Les courants uniques et les cymbales du temps
Il détruira tout ce qui lui a fait offense

Dans la majesté de l’âme, dans l’ouverture des roches
Florian est l’unique temple qui porte le temps
Le reste est petit, instable et pulverulent

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