En général les trois quart des articles de philosophie contemporaine du philomag ou autre sont des amalgames. Ce procédé règne a peu près partout, à droite comme à gauche. On en est venu jusqu’à faire croire que les poulpes écrivaient des lettres ou des choses de ce genre. Le n’importe quoi règne partout. Peut-être parce que l’on n’a plus accès aux mystères du monde comme l’a le médium. Plus ça va, plus on s’en éloigne, à droite comme à gauche.