Le sexe pervers est une compensation d’une absence de plaisir en général. Non seulement ses conséquences sont debilitantes et frustrantes (même sexuellement) pour les acteurs de cette sexualité, non seulement la population en général jouit de moins en moins, de plus en plus mal, et détruit toute autre forme de bonheur. On peut avancer que ce processus détruira la sexualité elle-même après avoir détruit le bonheur dans son ensemble au préalable. Tout cela est prouvé par les statistiques.