Après avoir violé toute ma poétique, mon intégrité, mon honneur et ma dignité d’être humain les plus fondamentaux de la manière la plus abjecte, cynique, terroriste et mafieuse qui soit au monde (vous savez de quoi je parle), ainsi que les trois quart du code pénal envers un innocent, fragilisé et isolé, les journalistes de Libération (qui n’ont aucun talent d’écriture par ailleurs) s’étonnent que je fasse quelques saillies sexistes. Vous pouvez vérifier dans le dictionnaire, c’est la définition objective du fascisme. Je dis ça je vais très bien, je signale juste leur comportement. C’est grave qu’il y ait de tels journaux, je le précise juste. C’est un véritable danger pour la démocratie. Une telle opprobre a peut-être existe dans des journaux d’extrême droite, mais ils ont été dissous. Que fait l’arcom ?