Il y a quelque chose de très beotien et vulgaire dans le genre du drame au cinéma, quelque chose aux antipodes du rimbaldisme. Je préfère le genre de l’horreur. Le rimbaldisme serait plus proche d’une sorte de prolétariat infra-sensible.
Il y a quelque chose de très beotien et vulgaire dans le genre du drame au cinéma, quelque chose aux antipodes du rimbaldisme. Je préfère le genre de l’horreur. Le rimbaldisme serait plus proche d’une sorte de prolétariat infra-sensible.