Le comportement autodestructeur est condamné d’avance, il est issu d’une perte irréversible dont il s’agit d’achever et de terminer son œuvre. Ce qu’il y a de réjouissant, c’est qu’il est mort avant d’avoir abouti et n’apporte que des fruits pourris, des fleurs funéraires. Dans l’art, il peut être une catharsis, mais dans les actes un véritable funérarium.