J’étais seul sur le parvis. Les folles furieuses ont viole l’habit qui me drainait. J’étais l’unique embouchure et les valves souterraines. Je ne pouvais plus même vivre, je ne pouvais plus même écrire. Il faut croire que la psychose s’est installée sur la ville. Pour le fruit divin, elles detruisirent le monde entier.