Il est évident qu’il vaut mieux laisser le monde aux mains des populistes plutôt qu’à une telle insanité. C’est un moindre mal. Le prodige sait choisir ce qui est bon pour l’humanité. Mais à vrai dire il n’y appartient pas. Il appartient à cet indicible perdu, cet orphisme immemorial. Il est tout ce qu’on voudrait être, mais il n’est personne. Les dingos réagissent mal à sa vue, les ressentimistes ruminent et les pervers se frottent les mains.