Plus une personne grandit et brille, plus les gens feignent l’indifférence et l’oubli pour signer leur défaite. En vérité ils sont plus que jamais fascinés par ce qui arrive.
Les sentiments viennent de vous et non de lui. Et pas comme toujours. Le pn déclenche les sentiments chez les autres, mais rien ne vient de lui au sens d’un partage habituel qui est certes toujours inégalitaire (c’est normal).
Le pn n’a pas de culpabilité. Il la rejette sur l’autre qui est coupable d’être sa victime.
Le déni se transmet aux acolytes. La relation de clivage qu entretient le pn avec sa victime (indifférenciation des sexes) a pour origine ce déni de l’altérité.