La barbarie nazie est sorti du bec du petit rossignol… Le mensonge, la haine du floral ont glapi dans la bouche de la femme tel un excrément du démon. La femme abjecte, complexée, incarcérée, la petite femme rouillée sous de beaux apparats, cette brosse à chiotte déguisée en charme, criminelle, dépendante, patriarcale, anti-florale… Qu’elle n’a rien de Florian ! Qu’elle n’a rien de cet ange sauvage et surnaturel, de son odeur entêtante des sous bois et des fougères. Cette ordure grossière et béotienne, quelle honte pour moi qu’elle ait souillé ma divinité de ses yeux. Cette engeance ne méritait pas de voir l’amplitude de ce que je peux voir, et qu’elle n’a pas vu et ne verra jamais. Cette termite travaillant dans son terrier pour l’insecte supérieur, qu’elle reste dans son ombre et sa puanteur. Qu’elle laisse l’enfant sauvage, l’enfant divin à ses rêveries, et qu’elle allaite sa vermine de progéniture dans son un monde fichu avec lequel je n’ai plus rien à voir. La femme-termite, qu’elle se libère encore pour acheter ses cosmétiques et ses bibelots, la femme-termite, qu’elle creuse sa galerie et lise ses petits livres mensongers aux formules fleur bleue de pédérastes. Que cette termite creuse toute sa vie, œuvre pour le patriarcat, elle ne serait qu’une termite sans l’œil de l’homme de toutes façons. Termite elle a été, termite elle restera. Mais pour Florian, le divin sous bois, l’ange démesuré et le cœur sanglant de tous les onirismes, qu’il ne soit jamais apprécié et souillé par ces vesses parasitaires, ces insectes grouillants dans leur termitière.