Un seul feu me dévaste, c’est celui de mon appréhension. Il est la clameur et l’aval de tous les possibles rayures et les possibles rayons. Il est le soleil qui m’exalte.
Un seul feu me dévaste, c’est celui de mon appréhension. Il est la clameur et l’aval de tous les possibles rayures et les possibles rayons. Il est le soleil qui m’exalte.