Il y a une strophe des chants de Maldoror, la seule de tous les six chants, dans laquelle Maldoror commet un acte d’immense bonté. C’est celle du suicidé de la Seine. Alors que tout le monde est ahuri et inactif devant le suicidé, Maldoror entre en jeu et lui sauve la vie. Etonnant n’est-ce pas ? C’est que Maldoror, bien qu’il soit le mal, a horreur de la moraline, et cela rejoint un texte que j’ai mis sur fb.