Mon sentiment.

La taille de mon sentiment est immense. Il est une vague qui se creuse. Dans ce béton et cette manie mienne de faire reculer les obstacles, l’absence de barrières est ce vivant tombeau orienté vers l’avenir. Il est la vie elle-même, ce qui n’a jamais pu mourrir en ouvrant les valves de ce qui me fut le plus personnel. Mon intégrité n’a pas de limites. Elle meurt dans le sentiment nouveau qui prend tous les autres. Vague, trépied d’un réseau d’arbres vivaces qui entre dans ce lierre fomenté de mon esprit, où les nerfs se réduisent à un grand espace.

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