Le cannabis m’a appris la savante ignorance, les douces dents de scie, les nébuleuses de l immannece. Joint à mon sentiment intérieur, il m’a protégé et réconforté. C’est de là que me vient l’idée d’un ailleurs, d’une faiblesse et d’une beauté au-delà des collines, des interactions moléculaires, entre les villes, les structures et soi.