La superficialité a peur de la profondeur. Elle lui donne le vertige et attise sa colère. Elle colmate les fonds sans voir en profondeur mais ressasse des principes d’apparat. Ce monde des apparences n’appartient pas à l’indicible, qui est la profondeur et le charme de l’apparence. La pensée superficielle se veut saine et engrange des connaissances. Elle jalouse celui qui perçoit le charme de l’apparence et réside d’avantage dans l’exécution que l’appréhension. Elle est peu encline à voir la souffrance chez l’autre et n’a en général aucune empathie.