Seule la chair de Dieu est incorruptible et éternelle, le reste est putréfaction. Face à la grâce, des femmes ont eu ce comportement putride qu’elles dénonçaient chez les hommes. Leur pouvoir aura été de se montrer tel quel : des êtres putrides également, soumises à l’homme et agissant pour la mort. La vie, qu’elles prétendaient chérir, aura été la mort également, et l’amour toujours inaccessible. L’amour, l’inaccessible amour comme disait Mallarme de l’azur, des femmes en ont fait un amas putride.